Jugendbuchautorin Angelika Lauriel zu Gast am DFG
Am Dienstag, 30. November 2010 stattete die Kinder-/ Jugendbuchautorin Angelika Lauriel den Klassen 7a & 7b und ihren Französischlehrern Herrn Pfefferle und Frau Billes einen Besuch ab. In einer Autorenlesung stellte sie ihren im Langenscheidt-Verlag erschienenen, zweisprachigen Jugendkrimi «Le secret du bunker – Das Geheimnis des Bunkers» vor.
Die Autorin lieferte zusätzlich anschauliche Erklärungen und Beispiele zu Erzählperspektive und Spannungsaufbau in Kriminalromanen. Dabei nutzten die Schülerinnen und Schüler auch die Gelegenheit, einer ‚echten‘ Schriftstellerin Fragen aus der Leserperspektive zu stellen.
La lecture d’Angelika Lauriel – compte-rendu des élèves de la classe 7a
Mardi 30 novembre 2010 en troisième et quatrième période, il y avait une lecture dans la salle polyvalente du LFA avec l’auteur Angelika Lauriel. Elle écrit des histoires courtes et des polars pour la maison d’édition Langenscheidt.
D’abord nous avons parlé de l’illustrateur, alors de celui qui dessine les images pour les livres.
Ensuite Mme Lauriel a lu un premier passage de son livre bilingue (français et allemand) « Le secret du bunker ». Il s’agit des deux amis Lora et Eli qui sont élèves au Lycée Franco-Allemand. Ils vivent en Sarre et parlent français et allemand.
Leur classe fait un jeu de piste. Pendant l’excursion Lora découvre un bunker. Quand elle essaie d’y entrer, elle glisse et se coince son pied derrière une pierre. Son ami Eli la cherche et pour la sauver il passe par un autre chemin pour entrer dans le bunker. Il y trouve des sacs en plastique. Qu’est-ce qu’il y a dans ces sacs? Le lendemain ils veulent retourner au bunker.
La mère de Lora leur raconte qu’il y a eu des cambriolages. Et sur la route qui mène dans la forêt, ils rencontrent un garçon de leur école qui a tout à coup une nouvelle moto. Quand ils entrent dans le bunker, les sacs ne sont plus là. Lora a une bonne idée: Ils peuvent aussi chercher dans l’autre bunker. Et oui, les sacs sont là. Puis ils entendent quelqu’un. Ils courent à leurs vélos et quand ils partent le chien de leur prof de biologie arrive…
Après une première lecture, Mme Lauriel nous a expliqué des choses à respecter pour écrire un bon polar. Il faut par exemple créer du suspense pour les lecteurs. On a parlé du « cliffhanger ». C’est quand le chapitre finit à un point très intéressant du livre.
Mme Lauriel a également dit que les auteurs peuvent s’identifier avec le personnage principal. Il est aussi possible de décrire l’histoire d’un point de vue extérieur. Elle nous a expliqué à quelle personne on écrit (à la troisième ou à la première personne).
Mais il faut respecter une règle: On ne peut décrire que les choses que la personne voit/pense/… par rapport à la troisième personne; celle-ci peut décrire une ou deux personnes à la fois: « X se cachait derrière un arbre, mais il ne le voyait pas! »
Mme Lauriel nous a aussi raconté combien un auteur gagne avec un prix d’un livre de 7 euros.
On avait beaucoup d’idées comment le livre continue. A la fin, nous avons voulu savoir la fin du livre, mais Mme Lauriel ne voulait rien dire…
compte-rendu de:
Lola, Alexis, Leathitia, Berenike, Julia, Elisabeth, Sophie, Zoé, Julie, Mikolai
(classe 7a)